Vous avez décidé d'acheter un appartement à Paris et cherchez dans le 8ème ? Autrefois composé de deux villages, cet arrondissement devient le fief de l’aristrocatie au XVIIIe siècle. De riches familles y font bâtir de coquets hôtels particuliers comme ceux de Charost, de Beauvau, et d’Évreux, aujourd’hui Palais de l’Élysée. Au XIXe siècle, la bourgeoisie industrielle prend la relève de la noblesse et continue d’ériger de splendides demeures, notamment près de l’élégant parc Monceau, aménagé en 1852. Certaines d’entre elles abritent aujourd’hui des institutions culturelles réputées. C’est également au XIXe siècle que sont bâtis l’Arc de Triomphe, les églises de la Madeleine et de Saint-Augustin, et une constellation de splendides immeubles haussmanniens, rejoints en 1900 par les Grand et Petit Palais qui font de l’arrondissement un poids lourd culturel. Et comment ne pas évoquer les Champs-Elysées, plus célèbre avenue du monde ? Si les franchises « mainstream » y sont aujourd’hui nombreuses, il suffit d’emprunter les axes alentours pour constater que le 8ème reste LE bastion du luxe, dont les boutiques et palaces attirent une clientèle fortunée. Sorti de la carte postale, le 8ème est un arrondissement résidentiel dont les vastes appartements sont prisés des familles aisées. Il accueille également de nombreux sièges d’entreprises et cabinets de professions libérales, contribuant à en faire le deuxième arrondissement le moins dense de Paris.
Desservi par les lignes de métro 1, 2, 6, 9 et le RER A, et bordé par la célèbre place Charles de Gaulle et son Arc de Triomphe, ce quartier forme une sorte de triangle délimité par les avenues des Champs-Elysées et Marceau et par les quais de Seine. Vivant de jour comme de nuit, il attire les touristes qui flânent dans ses belles rues avant d’embarquer sur un bateau-mouche près du Pont de l’Alma qui file vers le 7ème. Le quartier est également traversé par l’avenue Montaigne, emblème du luxe parisien. De Dior à Chanel en passant par Céline ou Prada, les grandes marques de Haute couture françaises et internationales y attirent une clientèle aisée de Parisiens et de touristes venus des États-Unis, d’Asie ou du Moyen-Orient. Avec ses nombreux palaces comme le Four Seasons George V, le Plaza Athénée, le Prince de Galles ou le Fouquet’s Barrière, ses restaurants étoilés, mais aussi ses établissements plus “m’as-tu-vus” comme l’Avenue, Yeeels, Renoma Café Gallery, Ginger, Miss Kô, et Noura, le quartier coche bon nombre de prérequis pour séduire une clientèle étrangère fortunée. Le soir, on se donne rendez-vous au Crazy Horse ou au Lido, deux des cabarets les plus emblématiques de la capitale, avant de poursuivre la nuit dans un club chic comme le Raspoutine. Près du haut de l’avenue des Champs-Elysées, le quartier accueille une offre commerciale plus hétéroclite de Louis Vuitton à Nike en passant par le Drugstore et Ladurée. Après une virée shopping dans l’une des nombreuses galeries marchandes de la rue Georges V, ses habitants se pressent au Comptoir de l’Arc pour l’afterwork avant d’aller dîner au Relais de l’entrecôte, rue Marbeuf. Autre option : assister à une pièce dans le très beau théâtre des Champs Elysées, bâti en 1913 dans un style précurseur de l’Art déco. En revanche, le secteur est peu résidentiel et la vie de quartier, comme l’offre de commerces de bouche, sont limités. Dans ce quartier de boutiques et de bureaux, les biens à vendre sont rares, sauf en s’éloignant vers les petites rues résidentielles à la limite du 16e arrondissement comme les rues Quentin Bauchart, Magellan et Christophe Colomb. Dernier détail : c’est l’un des quartiers les plus chers de Paris et sur l’avenue Montaigne, les prix au m2 dépassent souvent les 20 000 €.
À l’ouest du 9ème et au sud du 17ème, ce beau quartier haussmannien collectionne les immeubles splendides et imposants. Sans surprise, les grandes surfaces de ses appartements avec parquets, moulures et cheminées, et ses très bonnes écoles telles que Fénelon, rue de Naples, et le lycée Chaptal boulevard des Batignolles, attirent les familles plutôt bourgeoises. Si le quartier ne se démarque pas par sa mixité sociale, il dispose en revanche d’un atout de taille : c’est l’un des mieux desservis de l’arrondissement via les lignes de métro 2, 3, 9, 12, 13, 14 et les lignes de Transiliens L et J qui passent par Saint-Lazare. La journée, hommes et femmes d’affaires se croisent autour de l’église et de la station Saint-Augustin et le long de la rue de Laborde avant d’aller prendre un verre en terrasse de l’Abordage qui jouxte le square Marcel Pagnol. Le soir, le calme regagne ses rues. Plus touristiques et impersonnels, les abords de la gare Saint-Lazare renferment un melting-pot de bureaux, de commerces et d’habitations et se montrent grouillants à toute heure de la journée. À la pause dej’ ou à la sortie du train, on se donne rendez-vous à la très ancienne Maison Mollard rue Saint-Lazare, brasserie française typique et spécialisée dans les fruits de mer. Ce secteur bruyant possède en revanche une vie de quartier limitée et pour trouver quelques commerces de bouche, on retournera du côté de Saint-Augustin ou on se rendra plus au nord, vers le secteur d’Europe-Liège. Plus résidentiel, ce coin prisé des jeunes familles compte quelques rues vivantes qui renferment une poignée de petits restaurants. Plus calme que le très animé 9ème voisin, il est aussi légèrement plus abordable. Il constitue donc un bon compromis ! Les abords de la rue du Rocher sont en revanche exclusivement résidentiels et rue de Rome, vous trouverez davantage de boutiques de musiques que de petits commerces. les rues du secteur de Liège comme celle de Londres ou de Saint-Pétersbourg et d’Amsterdam qui mènent à la place de Clichy, comptent de nombreux bureaux, mais aussi davantage de commerces de bouches.
Au sud du Boulevard de Courcelles s’étend le parc Monceau, agréable espace vert où se mêlent allées prisées des joggeurs, espaces de jeux pour enfants et pelouses propres à la détente. L’ambiance de ce quartier, le plus authentique du 8ème, rappelle celle du 17ème voisin. Moins touristique, plus résidentiel, mais aussi plus tranquille que les quartiers du sud de l’arrondissement. Il est sans surprise le plus recherché par les familles, tendance BCBG. Ces dernières sont également attirées par la présence de la prestigieuse École Active Bilingue et de l’École Internationale Bilingue (EIB), dont la cour de récré de ses élèves chanceux n’est autre que le parc Monceau ! Si en journée, l’ambiance de ce quartier d’ambassades, de cabinets d’avocats, d’études de notaires, et d’entreprises financières comme Morgan Stanley, est plutôt affairée, le soir, l’ambiance devient feutrée entre cocktails d’affaires au Salon Hoche, à l’Hôtel du Collectionneur ou au Royal Monceau et dîners élégants dans l’un de ses restaurants comme l’étoilé Le Taillevent. Après 23h, les soirées sont en revanche bien calmes… Plus on s’éloigne de l’avenue Hoche pour se rapprocher de Villiers et son marché de Lévis (côté 17ème), plus la vie de quartier s’anime et les commerces se font nombreux. Outre le parc, la zone ne manque pas de lieux de loisirs à l’image de la célèbre Salle Pleyel qui ravit les mélomanes ou de la méconnue piscine Jacqueline Auriol, qui fait le bonheur des plus sportifs. Enfin, que dire de l’architecture de ce quartier desservi par les lignes de métro 1, 2 et 3, si ce n’est qu’elle est magnifique ? De beaux immeubles haussmanniens côtoient de nombreux hôtels particuliers avec des jardins donnant parfois sur le parc Monceau comme dans la rue Murillo. Au milieu de tout ça, votre regard s’arrêtera peut-être sur l’une des curiosités du quartier : la Pagoda Paris, grand hôtel particulier à l’architecture asiatique, commandé en 1926 par un marchand d’art chinois.
Traversé par les lignes de métro 9 et 13, ce quartier débute en haut du jardin des Champs-Elysées, autour du Rond point du même nom et de la bouche de métro Franklin Roosevelt. Il constitue davantage un quartier de bureaux que d’habitations, et accueille de nombreuses professions libérales, avocats en tête. Il abrite également le musée Jacquemart-André, plusieurs restaurants étoilés comme Chez Laurent, Le Gabriel, Apicius ou Épicure dans le prestigieux Hôtel Le Bristol, et de hauts lieux de pouvoir comme le Palais de l'Élysée et le ministère de l'Intérieur, place Beauvau. Très passant de jour comme de nuit, il ne se distingue pas par sa vie de quartier. Le soir, il est un lieu de sorties un peu “show-off”, à l’image de ses bars et discothèques comme Le Madam, Le Matignon, Les Planches ou Le Piaf. Conséquence : il est parfois mal fréquenté la nuit et surtout très bruyant, notamment dans les rues perpendiculaires aux Champs-Elysées qui accueillent également beaucoup d’hôtels. Ces dernières sont sans surprise très peu recherchées par les acquéreurs contrairement aux rues de Ponthieu, de Berri, du Colisée, de Penthièvre et leurs nombreux restaurants, de la rue de la Boétie, ou des larges avenues de Matignon ou Gabriel, avenue qui longe le Palais de l’Elysée. Rue du Faubourg Saint-Honoré, l’ambiance change et devient très chic. Les prix de l’immobilier suivent en conséquence…
Prestigieux et bien connecté au réseau RATP via les lignes de métro 1, 8, 12, 13 et 14, Madeleine – Concorde est progressivement devenu l’un des grands quartiers d’affaires du centre de Paris ces 30 dernières années. Il accueille aujourd’hui de nombreux bureaux et sièges d’entreprises, à l’image de celui de Free. Proche de l’Élysée, il est également un quartier de pouvoir qui renferme des lieux à l’atmosphère feutrée comme le bel Hôtel de Crillon ou l’Automobile Club de Paris, et qui compte plusieurs ambassades, à l’image de celle des États-Unis. Mais si une chose caractérise ce quartier, c’est la quantité de ses monuments. Au centre, l’imposante église de la Madeleine achevée en 1842 dans un style néo-classique fait face au Palais Bourbon dressé dans le 7ème voisin, de l’autre côté de la Seine. Entre les deux, s’étend la place de la Concorde, aménagée à partir du XVIIIe siècle sous Louis XV et qui fait face au jardin des Tuileries. Le quartier compte plusieurs autres édifices spectaculaires comme le Grand Palais, connu pour sa superbe nef vitrée, son Palais de la Découverte et son bon restaurant “Le Mini Palais”, et le Petit Palais qui abrite le musée des Beaux-Arts de la ville de Paris. Quand on en sort, le panorama visuel offert depuis les ponts des Invalides et Alexandre III est l’un des plus époustouflants de Paris. Non loin de là, le Théâtre du Rond-Point, installé dans un édifice signé Jean-Ignace Hittorff, l’architecte du Cirque d’Hiver dans le 11e, complète une offre culturelle déjà bien fournie. Le quartier attire sans surprise nombre de touristes, dont certains très fortunés qui s’offrent une virée shopping dans les luxueuses rues Royale et du Faubourg Saint-Honoré avant d’aller prendre un verre au Buddha Bar ou de dîner au Maxim’s. Les budgets plus modestes lui préféreront la rue Tronchet qui mène aux Grands Magasins, ou les abords de Madeleine qui comptent plusieurs grandes enseignes de retail à l’image de Décathlon ou du nouvel Ikea. Mais le quartier dispose aussi d’une facette plus résidentielle ! Pour la connaître, il suffit de se rendre du côté des rues d’Anjou et des Mathurins et de la Cité Berryer, joli passage qui part de la rue Boissy d’Anglas. Mais gare aux prix !
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