Chasseur immobilier Bordeaux

Comme son nom l’indique, ce quartier forme un triangle délimité par le cours de l’Intendance, les allées de Tourny et le cours Georges Clémenceau. Chacune de ses trois extrémités est marquée par la présence d’un monument ou d’un lieu emblématique : le Grand théâtre et sa magnifique architecture néo-classique, la place Gambetta et la place Tourny. Au milieu de ce quartier trônent les halles du centre commercial sur la célèbre place des Grands Hommes. Elles abritent de nombreux commerces de bouche et sont entourées de cafés élégants. Ce quartier très BCBG est également connu pour ses joailleries, ses orfèvreries et ses enseignes de luxe, principalement concentrées le long du cours de l’Intendance, piéton et traversé par la ligne B du tramway. Vous l’aurez compris, le Triangle d’Or est l’une des zones les plus convoitées de la ville. Son ambiance feutrée, sa proximité des restaurants et de l’animation de l’hypercentre et son offre immobilière haut-de-gamme composée de beaux immeubles du XVIIIe siècle et d’hôtels particuliers souvent divisés en appartements cossus, attire les familles aisées. Le nombre de biens mis en vente est cependant très réduit, ces derniers se transmettant souvent par la voie de successions. Le marché immobilier est donc très tendu et les prix du m2 atteignent des sommets.

Le sud de Bordeaux regroupe deux zones aux identités bien distinctes. À l’extrémité nord, le micro-quartier de Saint-Michel s’étend le long des quais de la Garonne, entre la gare Saint-Jean et le cours Victor Hugo qui marque l’entrée du centre-ville de Bordeaux. Ce quartier populaire, dynamique et cosmopolite séduit une population jeune et bohème. La très animée place de la Victoire et ses alentours constituent le repère des étudiants et des lycéens de Montaigne et de Gustave Eiffel. Ses nombreux bars sont littéralement pris d’assaut dès la sortie des cours. À l’aube, les derniers noctambules rentrent chez eux tandis que les bouchers et primeurs du marché couvert des Capucins installent leurs étals avant l’arrivée des premiers clients. Plus tard dans la matinée, riverains et hipsters se croisent le long des allées du marché qui s’installe au pied de la magnifique flèche de la basilique Saint-Michel et qui, selon les jours de la semaine, alterne entre métiers de bouche et brocanteurs. Avec son ambiance de village et ses appartements anciens (encore) un peu plus accessibles que dans le centre, le quartier attire les primo-accédants et les jeunes familles. Symbole de cette gentrification, les salons de thé et épiceries orientales côtoient désormais des restaurants à la mode, des friperies et des primeurs en circuit-court et les prix flambent, notamment dans les rues situées entre la place Meynard et l’église Sainte-Croix. Cette zone bénéficie d’un cadre plus tranquille à proximité des quais et de la ligne C du tramway, et dispose de quelques équipements culturels de renom comme le Conservatoire ou le TNBA, théâtre à la programmation contemporaine de qualité. Si vous envisagez d’acheter un bien immobilier à Saint-Michel, il est toutefois nécessaire de bien vous renseigner préalablement sur la copropriété, certains immeubles étant en très mauvais état. Au sud de la gare de LGV Bordeaux Saint-Jean, l’urbanisme et l’ambiance sont très différents. Cet ancien bastion industriel longtemps peu considéré par les acquéreurs connaît une renaissance spectaculaire grâce au projet Euratlantique, nouveau quartier résidentiel et d’affaires. Jusqu’à 2030, 740 hectares de friches, manufactures et entrepôts seront progressivement réhabilités ou détruits pour laisser place à 2,5 millions de m2 de sièges sociaux d’entreprises flambants neufs, d’hôtels, de restaurants, mais aussi de logements et d’espaces verts. Plusieurs bâtiments emblématiques sont déjà sortis de terre. Parmi eux, la Maison de l'économie créative et de la culture en Nouvelle-Aquitaine (MÉCA), dont la silhouette futuriste se dresse fièrement le long des quais de la Garonne. Des résidences modernes sortent également de terre un peu partout, accueillant souvent de grands appartements avec baie vitrée et espaces extérieurs qui séduisent les primo-accédants et les jeunes familles. Si quelques commerces et supermarchés de proximité ont ouvert leurs portes, la vie de quartier reste cependant limitée. Le secteur ne manque pourtant pas d’atouts, à commencer par ses nombreux équipements scolaires, sportifs et associatifs, comme le centre d’animation de Bordeaux Sud, les stades Carle Vernet et Belcier ou les gymnases Barbey, Montaigne et de la Flèche. Il est également très bien relié au centre grâce aux lignes B et C du tramway et à plusieurs lignes de bus, ainsi qu’au reste de l’agglomération via un accès direct à la rocade sud qui permet de rejoindre rapidement l’autoroute et le centre commercial Bordeaux Sud à Villenave d’Ornon. C’est enfin de la gare de LGV de Bordeaux Saint-Jean que partent les trains pour Paris, désormais accessible en seulement 2 heures.

Située au sud de Bordeaux et aux portes de la ville de Talence, cette zone proche du centre et de la Garonne est traversée par le cours de l’Argonne où circule la ligne B du tramway qui relie l’hôtel de ville au campus universitaire de Pessac. On y trouve de jolis immeubles anciens, de très nombreuses échoppes mais aussi de belles demeures et hôtels particuliers du XIXe siècle, notamment du côté du micro-quartier de Saint-Genès. Ce secteur cossu se démarque par sa tranquillité et la qualité de ses écoles, comme le très réputé groupe scolaire privé Saint-Genès-La Salle qui accueille les élèves du primaire au lycée et fait face au joli jardin à l’anglaise des Dames de la Foi, aux allées plantées de micocouliers et de vieux chênes. Cette zone attire les familles de cadres, notamment près de la rue Costedoat, dotée de quelques petits commerces de proximité. Plus populaire, le micro-quartier de Nansouty se distingue par son ambiance de village dont le cœur se situe au niveau de la place de Nansouty récemment rénovée et entourée de quelques cafés et commerces de bouche. Avec son authenticité, sa vie associative dynamique, ses équipements scolaires et sportifs de proximité, ses petites rues tranquilles, ses marchés hebdomadaires et ses très nombreuses échoppes plus vastes que la moyenne (entre 80 et 100 m2), ce micro-quartier connaît un engouement grandissant auprès des familles qui peuvent s’offrir quelques mètres carrés de plus que dans le centre et voir leurs enfants grandir dans un cadre sûr et paisible. À découvrir de toute urgence !

Situé à l’ouest de la ville, au sud de l’hypercentre et de Caudéran, Saint-Augustin - Tauzin - Alphonse Dupeux est aujourd’hui plus méconnu que les quartiers proches de la Garonne. À tort ! Tranquille, charmant et résidentiel, il abrite une population mixte composée de familles, de cadres et d’étudiants. Il présente l’avantage d’offrir de nombreuses commodités : des crèches, 6 écoles maternelles et élémentaires, 2 collèges et 3 lycées (Sainte-Famille-Saintonge, Lautrec et Saint-Augustin) et des équipements sportifs. Le quartier est également desservi par 4 stations de la ligne de tramway A et plusieurs lignes de bus qui filent vers le centre de Bordeaux. On y trouve également des commerces, des bars et des restaurants disséminés un peu partout, notamment près de l’église Saint-Augustin, cœur de vie du quartier d’où se dégage une ambiance de village. S’ils se font plus rares du côté de la rue Alphonse Dupeux et de l’église Saint-Victor, ce secteur reste proche du centre-ville et du centre commercial de Mériadeck. Côté immobilier, on retrouve un mélange typiquement bordelais d’échoppes avec jardins et d’édifices anciens, même si l’architecture est plus éclectique qu’ailleurs (néoclassique, résidences semi-récentes…). Le secteur de Saint-Augustin présente notamment une particularité architecturale : on y trouve de nombreux immeubles bas et de maisons de style Art Déco, notamment dans les rues proches du stade Chaban-Delmas, de l’avenue du Parc de Lescure et du parc de la Béchade. Attention toutefois aux nuisances sonores dans les rues à proximité immédiate du Centre Hospitalier Universitaire Pellegrin, premier employeur régional, devant lequel le va-et-vient des ambulances et des passants peut être gênant.

Si un quartier incarne plus que tout autre l’histoire du Bordeaux viticole, c’est bien les Chartrons. Ancien fief des négociants en vin, ce secteur composé de jolis immeubles anciens s’étend le long de la Garonne, au nord de la place des Quinconces. Après des décennies de lente décadence, il connaît un fort renouveau au début des années 2000 et devient peu à peu le repère des antiquaires, des brocanteurs, des magasins de décoration et des galeries d’art, notamment du côté des charmantes rues Notre-Dame et du Faubourg des arts. Situé à quelques minutes à pied du centre-ville et desservi par la ligne B du tramway (côté ouest) et la ligne C (côté est), le quartier des Chartrons est aujourd’hui une zone branchée où l’on se donne volontiers rendez-vous pour prendre un verre en soirée ou bruncher le week-end après une balade sur les quais, une visite du Muséum de Bordeaux ou une exposition au CAPC, centre d’art contemporain. Il est notamment très en vogue auprès des jeunes couples avec enfants, séduits par sa localisation et son ambiance de village particulièrement palpable près de l’église Saint-Louis et des Halles des Chartrons, lieu d’exposition et salle de spectacles, autour desquelles s’alignent les petits cafés, les restaurants et les commerces de bouche. Autres atouts du quartier : ses nombreuses écoles maternelles et/ou élémentaires (Daney, Joséphine, Balguerie, Dupaty, Jean-Jacques Sempé, Sousa Mendes, Stendhal, Marie Curie et David Johnston) et son Jardin Public, plus grand espace vert du centre de la ville, dont les pelouses impeccables attirent les Bordelais à l’arrivée des beaux jours. Autour du parc, quelques beaux hôtels particuliers attirent des acquéreurs plus aisés, les prix pouvant dépasser les 10.000. . Plus au nord, dans le secteur du Grand Parc, l’offre immobilière est plus variée. Des immeubles anciens de quelques étages alternent avec des lofts design aménagés dans d’anciennes usines, des résidences des années 1970 ou plus récentes, et des échoppes, ces anciennes maisons ouvrières de plain-pied, typiques de l’architecture bordelaise et aujourd’hui très prisées. Moins chère, cette zone a récemment bénéficié d’un vaste programme de renouvellement urbain qui a permis la création d’équipements sportifs et culturels, d’une crèche, de nouveaux espaces piétons et la réhabilitation de logements avec l’ajout de balcons et de loggias sur certains immeubles. Aujourd’hui, le quartier poursuit sa mue, comme en témoignent les nombreux programmes de bureaux et d’habitations, tels que le projet de l’île Counord qui prévoit la création d’un jardin partagé, de toitures végétalisées, d’un centre commercial et de 87 nouveaux logements. Autre exemple : le projet Sarah qui vise à créer un ensemble résidentiel mixte et intergénérationnel pour séniors, étudiants, personnes en situation de handicap et familles.

Ce quartier est le seul de la ville situé sur la rive droite de la Garonne. Loin d’être isolé, il permet de rejoindre rapidement la rocade qui contourne la ville et est desservi par la ligne A du tramway qui franchit le pont de pierre et file vers le centre-ville de Bordeaux en seulement quelques minutes. Ancien quartier ouvrier et industriel quelque peu délaissé à partir des années 1970, Bastide connaît une vraie renaissance depuis une quinzaine d’années et attire aujourd’hui les primo-accédants et les jeunes couples, tendance bohème. Tout a commencé au début des années 2000 avec l’aménagement du jardin botanique, l’ouverture d’un cinéma multiplexe, la construction de quelques résidences modernes et immeubles de bureaux et le réaménagement des quais des Queyries en promenade verte aujourd’hui ponctuée de guinguettes offrant de formidables vues sur l’autre rive et le centre historique. Deuxième étape de ce renouveau : la réhabilitation de la caserne Niel et l’ouverture de l’Espace Darwin, espace multiculturel et polyvalent accueillant des entreprises, des associations, des services, des commerces, des bars, des restaurants, des équipements sportifs et un lycée. En quelques années, ce lieu alternatif est devenu l’un des points de rendez-vous incontournables de la jeunesse branchée bordelaise. Le lancement du projet Bordeaux 2030 a enfin donné un dernier coup d’accélérateur à La Bastide, de très nombreux programmes immobiliers voyant le jour un peu partout. C’est le cas du projet Belvédère, vaste éco-quartier en construction au sud du parc aux Angéliques, face au pont Saint-Jean. Il prévoit la construction de 73.000 m² de logements, de 50.000 m² de bureaux, de 18.800 m² de commerces mais aussi des services et des équipements culturels. Autre programme d’envergure : le projet Brazza, face au pont Chaban-Delmas, qui verra s’élever 313.000 m² de logements neufs, 41.200 m² de surface réservés à des activités artisanales et 71.300 m² de bureaux, commerces et hôtels, ainsi que 2 groupes scolaires, 2 crèches, un gymnase et une médiathèque. Rien que ça ! L’aménagement d’espaces boisés renforcera le maillage végétal du quartier, déjà le plus vert de la ville. Les amateurs de vieilles pierres ne sont cependant pas en reste et trouveront leur bonheur du côté des immeubles anciens, des maisons de ville et des échoppes de l’avenue Thiers et de l’allée Serr, cœur historique de la Bastide. Petit bémol : l’offre de commerces de proximité est assez limitée dans ce secteur et le quartier est moins attractif au fur et à mesure que l’on descend l’avenue Thiers en direction de Cenon et de Lormont. En dehors de cette extrémité est, La Bastide reste un quartier d’avenir dont la cote ne cesse de grimper, comme l’illustre la hausse constante des prix de l’immobilier.

Ancienne commune indépendante rattachée à Bordeaux en 1965, Caudéran forme une excroissance géographique à l’extrémité ouest de la ville. Bordelais depuis seulement une quarantaine d’années, les Caudéranais se plaisent à cultiver leur singularité. Souvent surnommé le « Neuilly bordelais », Caudéran accueille des résidents âgés à fort pouvoir d’achat, mais aussi de nombreuses familles aisées attirées par son calme et la qualité de son offre scolaire. C’est en effet ici, près du beau parc Bordelais, que se concentrent les meilleurs établissements privés de la ville : Sainte-Marie Grand Lebrun (primaire, collège et lycée) et Saint-Joseph de Tivoli (de la maternelle au lycée). Le quartier est également plutôt bien pourvu en équipements sportifs, comme le très fréquenté Tennis Villa Primerose, la piscine piscine Stéhelin, le gymnase Jules Ferry, les stades Maginot et Monséjour ou le golf bordelais qui jouxte l’hippodrome du Bouscat. Loin d’être un quartier exclusivement bourgeois, Caudéran abrite une population plus mixte qu’elle n’y paraît et renferme une offre immobilière diversifiée. On y trouve des échoppes, des résidences semi-récentes, quelques grands immeubles des années 1970 et surtout de jolies maisons anciennes ou plus récentes avec jardins. Mais ce qui séduit à Caudéran, c’est surtout son ambiance de village où il fait bon vivre, notamment du côté de son “bourg” où se dressent l’ancienne mairie, l’église Saint-Amand, le théâtre la Pergola et la plupart des commerces de proximité. Au centre, la très passante place Frédéric Ozanam sera prochainement réaménagée pour accroître la surface dévolue aux espaces verts et aux mobilités douces. En dehors de cette zone, le quartier reste toutefois très résidentiel. Si les rues les plus à l’est bénéficient de la proximité avec le centre de Bordeaux, les maisons les plus à l’ouest en sont assez éloignées. En raison de l’absence de ligne de tramway dans cette partie de la ville, il est nécessaire de posséder une voiture si vous n’êtes pas un inconditionnel du vélo ou du bus. Quant aux prix de l’immobilier, ils demeurent relativement élevés malgré une forte disparité d’un bien et d’une rue à l’autre, les maisons les plus chères étant situées proches du parc Bordelais et du centre-ville.

Quartier le plus étendu, Bordeaux Maritime s’étire le long des berges de la Garonne entre les Chartrons et les limites nord de la ville. Il se compose de plusieurs micro-quartiers dont les noms sont plus familiers des Bordelais. Au sud, Bacalan est un quartier dynamique, voisin des Chartrons. Il abrite les Halles de Bacalan, principale zone commerciale du secteur, ainsi que le « Quai des marques », également connu sous le nom de « Bord’eau Village », d’anciens entrepôts portuaires réhabilités et accueillant une galerie commerciale où s’alignent les magasins outlet. Près du très fréquenté grand pont Chaban-Delmas et de l’impressionnante Cité du Vin qui redessinent la skyline de Bordeaux, le secteur du Bassin à Flot est un point de rendez-vous très prisé de la jeunesse bordelaise pour sa vie nocturne et ses nombreux bars et boîtes de nuit. Cette zone est en pleine évolution et voit fleurir les constructions neuves un peu partout, attirant une population plutôt jeune, du fait de prix plus abordables que dans le centre, des nombreux établissements scolaires et équipements sportifs qui s’y trouvent et des deux lignes de tramway qui rejoignent le centre (B et C). Symbole de cette transformation : le réaménagement de l’ancienne base sous-marine allemande construite pendant la Seconde Guerre mondiale en Bassins de Lumières, centre d’art numérique. Plus éloigné du centre, le nord du quartier, et notamment le secteur de Bordeaux Lac, connu des Bordelais pour sa grande zone commerciale, est aujourd’hui peu attractif et peu recherché par les acquéreurs. Il abrite de nombreuses tours de logements sociaux des années 1970 et n’en est qu’au début de sa réhabilitation, même si plusieurs complexes de résidences modernes commencent à y voir le jour. Affaire à suivre !

Situé au centre géographique de la commune, ce quartier représente le cœur historique de Bordeaux. Il regroupe la plupart des grands monuments, tels que la cathédrale Saint-André et la tour Pey-Berland, le palais Rohan qui abrite l’Hôtel de ville ou la Grosse cloche qui marque l’entrée de la rue Saint-James depuis le cours Victor Hugo. Le centre de Bordeaux se caractérise par son entrelac de petites rues, souvent pavées et piétonnes et par ses majestueuses places, comme la place des Quinconces, plus vaste de France, ou la place de la Bourse qui s’ouvre sur les quais de la Garonne réaménagés en promenade piétonne. D’autres plus intimistes, comme les places Saint-Pierre, du Parlement, du Palais, Camille Jullian ou Fernand Lafargue sont prisées des Bordelais qui viennent y flâner ou s’y attabler en terrasse. Si quelque chose caractérise ce quartier vivant et branché, c’est en effet son offre pléthorique de cafés, de restaurants, de commerces de proximité, de petites boutiques et de grandes enseignes, notamment dans les rues Porte Dijeaux et Sainte-Catherine, plus longue artère piétonne et commerçante d’Europe. Pour ne rien gâcher, le centre de Bordeaux est le quartier le mieux desservi en transports, là où convergent les 4 lignes de tramway (A, B, C et D) qui permettent de rejoindre aisément l’ensemble de la ville et de l’agglomération. Sans surprise, il constitue le secteur le plus recherché par les acquéreurs et attire une population de jeunes cadres et de familles. La concurrence est donc rude pour acquérir l’un des nombreux appartements anciens situés dans de jolis immeubles du XVIIIe siècle caractéristiques de l’architecture bordelaise ou de splendides bâtiments du XIXe siècle que l’on trouve près des Quinconces ou le long de certains grands axes, comme le cours Alsace-Lorraine. Les acheteurs à la recherche d’un peu plus de calme, se dirigeront donc dans les rues proches du Palais Gallien et de la basilique Saint-Serin. Ce secteur très familial bénéficie en outre de la proximité de plusieurs établissements scolaires, comme les collèges et lycées Camille Jullian et Bel Orme. Côté privé, on y trouve le très réputé lycée Assomption Sainte-Clotilde, en limite de Caudéran, ainsi que l’école bilingue Bordeaux International School (BIS), rue Judaïque. À l’image du reste du centre de Bordeaux, le marché immobilier est cependant tendu et il est difficile de trouver un appartement ou une maison à moins de 5.000