Vous souhaitez acheter un appartement ou une maison dans le 5ème arrondissement de Lyon ?Situé à l’ouest de Lyon, le 5e arrondissement englobe les plus anciens quartiers de la ville, des ruines gallo-romaines de l’ancienne Lugdunum sur la colline de Fourvière aux charmantes ruelles Renaissance du Vieux Lyon. Blotti le long des rives de la Saône réaménagées en promenade piétonne, cet arrondissement marqué par de forts dénivelés est relié à la Presqu’Île par plusieurs ponts enjambant la rivière. Avec ses 28 écoles primaires, ses 11 collèges, ses 9 lycées et ses nombreux commerces, le 5e est très prisé des familles qui y trouvent toutes les commodités qu’elles recherchent dans un cadre plus verdoyant que le reste de la ville. Petites pépites : c’est ici que vous trouverez les biens offrant les vues les plus spectaculaires sur Lyon.
Avec son lacis de ruelles médiévales pavées et piétonnes débouchant sur de charmantes placettes, comme la place du Change ou la place du Gouvernement, le Vieux Lyon est un paradis pour les amateurs de vieilles pierres. Principalement aménagé entre les XIVe et XVIe siècles, il renferme quelques très vieux édifices d’inspiration gothique. Il constitue surtout l’un des plus vastes ensembles de style Renaissance d’Europe. Cette particularité lui valut d’être le premier quartier de France à bénéficier de la protection de la loi Malraux en 1964. Le Vieux Lyon abrite de nombreux immeubles anciens conçus par des architectes florentins de la cour de Catherine de Médicis arrivés en France après son mariage avec François Ier. Derrière les façades relativement sobres aux nuances d’ocre, de rouge et de jaune se cachent souvent de magnifiques cours intérieures agrémentées de balcons et de galeries ouvertes à chaque étage, accessibles depuis des escaliers nichés dans des tourelles évoquant l’architecture des palais toscans. À l’intérieur, ces immeubles renferment des appartements anciens décorés de cheminées et de poutres apparentes. Attention, les rues étant étroites, les biens situés aux étages inférieurs peuvent parfois souffrir d’un relatif manque de luminosité. Autre particularité architecturale du quartier : les fameuses traboules, ces passages piétons couverts qui relient plusieurs immeubles et permettent de traverser plus rapidement d’une rue à l’autre. Les plus célèbres se trouvent dans le micro-quartier de Saint-Jean. Cœur du Lyon historique, il tire son nom de la rue qui relie le temple protestant du Change à l’imposante cathédrale Saint-Jean-Baptiste. Dans ce secteur très animé de jour comme de nuit et desservi par la ligne de métro D à la station Vieux Lyon, on ne compte plus les cafés, les bars et les bouchons lyonnais. Revers de la médaille : Saint-Jean constitue une zone très passante qui est quotidiennement prise d’assaut par les visiteurs. Si des pubs anglo-saxons et certains restaurants aux menus multilingues peuvent faire penser qu’il est entièrement livré aux touristes, le Vieux Lyon dispose pourtant d’une vie de quartier bien ancrée, notamment du côté du micro-quartier de Saint-Georges, au sud de la cathédrale. Cet ancien quartier des artisans présente une architecture et un tracé similaires à celui de Saint-Jean mais compte davantage de commerces de proximité, de bars et de cafés tournés vers une clientèle locale. Dans ce secteur, les biens les plus recherchés sont les maisons avec jardins situées le long de la montée du Gourguillon qui offrent des vues à couper le souffle. Petit conseil à l’adresse des automobilistes : à Saint-Jean comme à Saint-Georges, si vous possédez une voiture, il vous sera difficile de faire l’impasse sur un garage, tant le Vieux Lyon est peu pourvu en parkings. Cette contrainte se fait moins ressentir du côté de Saint-Paul, à l’extrémité nord du quartier où les rues sont plus larges. Ici, l’urbanisme rappelle davantage celui de la Presqu’île avec ses quelques grands immeubles de type haussmannien construits près de la gare de Saint-Paul de laquelle partent plusieurs TER vers la banlieue. S’ils ne manquent pas d’atouts, les 3 secteurs du Vieux Lyon que sont Saint-Jean, Saint-Georges et Saint-Paul présentent sans surprise des prix du m2 élevés, notamment pour les maisons et les appartements situés le long des rives de Saône ou sur le versant de la colline de Fourvière.
Ce quartier perché sur le versant sud de la colline de Fourvière offre un visage charmant et presque bucolique. En dehors des immeubles de quelques étages bâtis au XIXe ou au début du XXe siècle et d’une poignée de résidences des années 1970, il se distingue par ses nombreuses maisons avec jardins éparpillés un peu partout. Les plus prisées offrent de belles vues sur Lyon. Dans le dédale de rues colorées du triangle formé par la paroisse byzantine Sainte-Irénée, la place de l’Abbé Larue et la place de Trion, se dégage une petite ambiance de village paisible, loin du tumulte de la ville. Si Saint-Just compte quelques commerces de proximité et offre un cadre de vie plutôt verdoyant, il reste assez mal desservi en transports, à l’image de son voisin Fourvière. Si emprunter le funiculaire peut avoir son charme pour rejoindre le centre-ville, ce mode de déplacement est relativement lent. Restent alors le bus et la voiture… ou le vélo pour les plus courageux.
Avec son ambiance de ville à la campagne, Point du Jour présente un visage assez similaire à celui de Saint-Just, en plus animé et encore plus verdoyant. La présence de nombreux espaces verts (parc de la Garde, parc de la Mairie, parc de la Mûrière…) constitue l’un des atouts de ce quartier où l’on respire ! Belles propriétés, maisons de ville et immeubles construits dans la deuxième moitié du XXe siècle, côtoient de belles résidences de standing plus récentes qui bénéficient souvent de terrasses ou de balcons. Point du jour est également apprécié pour sa tranquillité, sa vie associative dynamique, son marché bi-hebdomadaire et ses nombreux commerces de bouche et de proximité, principalement concentrés le long de la rue du Commandant Charcot et de l’avenue du Point du Jour. Petit bémol : le quartier est très mal desservi en transport et ne compte ni ligne de métro, ni tramway, ni funiculaire. Si le bus ou le vélo vous permettent de rejoindre assez facilement le centre de Lyon, disposer d’une voiture constitue un avantage de taille. Ce conseil prévaut également pour les résidents du quartier voisin de Ménival. Précisons-le d’emblée, ce dernier offre toutefois un visage beaucoup moins séduisant que Point du Jour. Majoritairement bâti à partir des années 1950, il concentre de nombreuses tours et barres d’immeubles peu esthétiques et est aujourd’hui un quartier très peu recherché par les acquéreurs… Ce qui explique la faiblesse de ses prix au m2.
Situé à l’extrémité est du 3e arrondissement de Lyon, Montchat présente un urbanisme très différent du reste de la ville. Sorti des abords très passants de l’hôpital Édouard Herriot et de l’hôpital d’Instruction des Armées Desgenette à l’extrémité sud du quartier, Montchat est une zone résidentielle très tranquille. Il se distingue par ses nombreuses rues bordées de maisons de ville et d’anciens pavillons ouvriers réhabilités, donnant çà et là sur de petits espaces verts, comme les parcs Georges Bazin et Chambovet. Principal avantage de Montchat : il permet à des familles de disposer d’un petit carré de jardin sans sortir de Lyon. Les abords du Château de Montchat, de la paroisse catholique Notre-Dame-du-Bon-Secours et du square de l’église constituent l’épicentre de ce quartier et l’endroit où se concentrent la plupart des commerces de proximité. Si une poignée d’immeubles de quelques étages construits dans la seconde moitié du XXe siècle bordent le cours du Docteur Long et la rue Ferdinand Buisson, ils ne parviennent pas à troubler l’ambiance de petit village qui caractérise Montchat et qui tranche avec l’atmosphère très urbaine et parfois frénétique du 3e arrondissement. Le quartier est également bien doté en équipements publics, tels que l’école maternelle Viala, le groupe scolaire Condorcet (maternelle et élémentaire), le collège Pierre Termier, la bibliothèque Lacassagne ou encore le stade Marc-Vivien Foé. Seul petit bémol : il est uniquement desservi en métro et en tramway à son extrémité sud, au niveau de la station Grange Blanche (lignes D, T2 et T5). Le bus et quelques coups de pédale permettent cependant de rejoindre rapidement la Presqu’île et le hub de transports de la Part-Dieu.
Quartier emblématique de Lyon, Fourvière domine la ville depuis la colline qui porte son nom. C’est ici que trônent fièrement la tour métallique de Fourvière inaugurée en 1894 et dont la structure évoque une tour Eiffel miniature, et surtout, la célèbre basilique Notre-Dame de Fourvière à la riche décoration intérieure néo-byzantine. À quelques mètres de là, les vestiges du théâtre gallo-romain et le musée d’archéologie mitoyen rappellent que l’ancienne Lugdunum est née ici. Au-delà des aspects patrimoniaux, Fourvière est un quartier très vert, notamment grâce à la présence du parc arboré des Hauteurs et de son jardin du Rosaire. Côté immobilier, il rassemble de nombreux édifices religieux et hospitaliers qui ont subi d’importantes reconversions depuis les années 2000. C’est notamment le cas de l’ancien hôpital de l’Antiquaille qui accueille désormais une résidence étudiante, des bureaux, un hôtel, un restaurant gastronomique, un espace culturel et des logements de standing, dont certains offrent d’incroyables vues sur la ville. D’autres programmes immobiliers, souvent plutôt haut de gamme, voient également le jour à différents endroits du quartier, aux côtés des résidences construites dans les années 1970 et 1980. Si Fourvière a de quoi plaire, elle présente cependant quelques inconvénients. Malgré les bus qui conduisent vers le sommet de la colline, le quartier n’est pas accessible en métro mais en funiculaire au départ du Vieux Lyon. Le trajet est donc plus lent et les cadences moins fréquentes. Si les cyclistes apprécieront la rapidité avec laquelle ils peuvent rejoindre le centre depuis les rues qui descendent vers Saint-Jean, enfourcher un vélo pour faire le chemin inverse nécessite une bonne condition physique. Enfin, Fourvière dispose de quelques équipements, comme le stade de la Sarra qui jouxte le cimetière de Loyasse, le lycée Sainte-Marie et le réputé ensemble scolaire aux Lazaristes, mais ne compte quasiment aucun commerce de proximité. Heureusement, les quartiers voisins de Saint-Just et de Point du Jour offrent de quoi faire quelques courses.
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