Vous souhaitez acheter un appartement ou une maison à Asnières-sur-Seine ? Située au nord-ouest de Paris et séparée de Clichy par la Seine, Asnières et ses 85.000 habitants se dispute avec Colombes la place de 3e ville la plus peuplée des Hauts-de-Seine derrière Boulogne-Billancourt et Nanterre. Cette ancienne cité industrielle, aujourd’hui résidentielle, se joue des paradoxes. Huppée à l’ouest, où les belles demeures bourgeoises font le bonheur des cadres sup’, la ville présente un visage plus populaire au nord et à l’est, où les logements sociaux sont nombreux à la frontière avec Gennevilliers.Ailleurs, notamment dans son agréable centre-ville, des immeubles de quelques étages et de charmantes maisons de ville affichent des prix au m² moins élevés qu’à Paris, attirant les primo-accédants à la recherche d’un premier bien immobilier ou les familles désireuses d’acheter plus grand. La ville jouit également d’une position stratégique : Paris et La Défense sont accessibles en moins de 10 minutes depuis la gare d’Asnières-sur-Seine (ligne L), tandis que selon les quartiers, la ligne J, la ligne 13 du métro, le RER C, le Tramway T1 et plusieurs lignes de bus, constituent autant d’alternatives de transport pour rejoindre la capitale et les communes voisines. Et pour ne rien gâcher, trois nouvelles stations de la future ligne 15 du Grand Paris desserviront la ville d’est en ouest en 2030. Vous l’aurez compris, Asnières-sur-Seine est promise à un bel avenir et ses prix ont déjà commencé leur ascension !
Centre géographique de la commune situé à la croisée des différents quartiers, Voltaire-Bourguignons est mitoyen de deux villes que tout sépare sur le plan sociologique. À l’est, il jouxte les HLM des Agnettes à Gennevilliers, ville populaire comptant 66% de logements sociaux et souffrant d’une assez mauvaise réputation. À l’ouest, il est voisin de Bois-Colombes, plus bourgeoise et majoritairement peuplée de cadres. La rue des Bourguignons, artère passante et animée bordée de nombreux commerces et restaurants marque la frontière avec cette dernière. Sur le plan de l’offre immobilière, la typologie de biens disponibles à Voltaire-Bourguignons rappelle celle du centre-ville, alternant petites maisons et immeubles peu élevés. À l’ouest de la station Gabriel Péri (ligne 13 du métro), plusieurs programmes immobiliers neufs livrés ou en cours de construction contribuent à redynamiser le quartier. Bonne nouvelle pour les acquéreurs : les prix du m² y sont moins élevés qu’au sud et à l’ouest de la ville, même s’ils sont évidemment plus importants au fur et à mesure que l’on se rapproche de Bois-Colombes. Si les habitants les plus proches de la frontière avec Gennevilliers pourront profiter des stations Gabriel Péri et Les Agnettes sur la ligne 13, ceux vivant à l’extrémité ouest du quartier, emprunteront la gare SNCF de Bois-Colombes. Mais attention : le reste du quartier reste assez mal relié en transport.
Situé au nord de la ville, le quartier des Hauts d’Asnières s’étend entre les communes de Colombes et de Gennevilliers. Il est séparé du reste de la ville par la rue Robert Dupont et abrite au nord le vaste cimetière de Bois-Colombes. Si les quelques rues pavillonnaires du sud du quartier rappellent la proximité de Voltaire-Bourguignons, le reste de la zone tranche avec l’ambiance de la ville. Avec ses grandes barres d’immeubles de logements sociaux construites dans les années 1970 et dépassant parfois 15 étages, on se sent plus proche de Gennevilliers que des maisons bourgeoises de Bac-Bécon-Flachat ou de l’atmosphère animée du centre. Petits lots de consolation : le quartier accueille les principaux équipements sportifs de la ville (stade et patinoire olympique des Courtilles, piscine Franck Esposito, stade Léo Lagrange, Arena Teddy Riner…) et est relié du nord au sud par deux stations de métro de la ligne 13 (Les Agnettes et Asnières-Gennevilliers-Les Courtilles), ainsi que par deux stations de la ligne de tramway T1 qui file vers l’est de la Seine-Saint-Denis. Malgré tout, si les Hauts d’Asnières ne connaissent plus les problèmes d’insécurité d’autrefois, ils demeurent très peu recherchés par les acquéreurs.
Grésillons-Bords de Seine représente une excroissance géographique formant une bande de terre enclavée entre Gennevilliers et la Seine. Elle s’étend sur plus de 2 kilomètres depuis la place Voltaire jusqu’à la rue des Caboeufs. De Ford à Citroën, cette ancienne zone industrielle fut un bastion du secteur automobile jusqu’à la fermeture de la dernière usine PSA en 2010. Excentré du reste de la ville, très peu commerçant et mité par de nombreuses friches, le quartier n’est aujourd’hui pas le plus prisé des acquéreurs. Il est également plutôt mal desservi en transports, excepté à ses extrémités est (gare de RER C Les Grésillons) et ouest, la station de métro Gabriel Péri (ligne 13) étant accessible à moins de 10 minutes à pied en direction du quartier voisin de Voltaire-Bourguignons. Entre les deux, le bus constituera la seule alternative possible à la marche ou au vélo. Mais l’arrivée de la ligne 15 Ouest du Grand Paris Express, qui reliera le pont de Sèvres à Saint-Denis, mettra le quartier à seulement 4 stations de La Défense. Si son inauguration est encore lointaine (2030), sa perspective contribue à redynamiser le quartier. De nouvelles résidences de quelques étages commencent d’ailleurs à sortir de terre aux côtés des immeubles en briques et des quelques rares maisons du secteur. Principal projet en cours : le réaménagement de la ZAC Bords de Seine qui inclut plusieurs programmes neufs, à l’image de Seine-Est qui prévoit la construction de 400 à 500 logements, d’un campus tertiaire de 78.000 m² de bureaux, d’une halle dédiée aux entreprises, d’une crèche et de 5.000 m² de commerces. De quoi intéresser de potentiels investisseurs !
Relié à Clichy par le pont d’Asnières, le centre-ville s’étend sur les bords de Seine. Noyau historique de la ville, il abrite le château d’Asnières, bâti au XVIIIe siècle, et le bel hôtel de ville inauguré en 1899. Cœur battant d’Asnières, le quartier abrite de nombreux commerces de bouches, grandes enseignes, bars et restaurants, notamment autour de la gare d’Asnières-sur-Seine et de la mairie. C’est également ici que se trouvent les principales institutions culturelles de la ville, tels que le théâtre Armande Béjart et le théâtre du Voyageur. Sur le plan architectural, le quartier se compose majoritairement d’immeubles de quelques étages rassemblant une mosaïque de styles : édifices haussmanniens, néo-haussmanniens, de briques, de faubourg… Une diversité qui ne manque pas de charme. Le centre d’Asnières compte également quelques jolies maisons, notamment à l’ouest, près du quartier de Bac-Bécon-Flachat, ou plus à l’est, dans le micro-quartier des Philosophes, dont les rues en étoile jouxtent le square du Maréchal Joffre et portent les noms de philosophes français. Très charmantes, ces maisons sont cependant plus modestes que celles bâties à l’ouest de la ville. Côté nature, le centre constitue la zone la plus verte de la ville grâce au square du Maréchal Leclerc situé devant la mairie, au square Voyer d’Argenson face au Château d’Asnières et au parc Robinson aménagé entre le quai du Docteur Dervaux et la Seine. Le quartier est enfin idéalement situé, desservi à l’ouest par la Gare SNCF d’Asnières-sur-Seine (lignes L et J) qui file en quelques minutes vers Saint-Lazare et La Défense, et à l’est par la station de métro Gabriel Péri (ligne 13) qui permet de rallier la place de Clichy en moins de 10 minutes. Tous ces avantages n’ont pas échappé à de nombreux Parisiens, souvent cadres sup’ et trentenaires branchés qui ont décidé de franchir le périph’ pour venir s’installer à Asnières. Symboles de ce changement sociologique : l’ouverture du Rosa Bonheur sur Seine en 2014 quai du Docteur Dervaux, antenne de l’emblématique bar des Buttes-Chaumont, ainsi que celle du Bistrot Splash de Norbert Tarayre (ancien candidat de l’émission Top Chef), à proximité du port Van Gogh.
Bienvenue dans le quartier le plus prisé d’Asnières ! S’il compte quelques immeubles dépassant rarement 5 étages, Bac-Bécon-Flachat aligne surtout les charmantes avenues arborées, bordées de jolies maisons en pierres meulières et autres belles demeures bourgeoises. Frises sculptées, briques colorées, détails Art nouveau… De nombreuses fantaisies architecturales ornent les façades. Ces maisons font le bonheur des familles de cadres séduites par leur cachet et par la possibilité d’accéder à plus d’espace, voire à un jardin, tout en restant proche de Paris et de La Défense. Car l’un des principaux avantages du quartier est d’être très bien connecté en transport. Il est en effet entouré de 3 gares : la gare d’Asnières-sur-Seine au sud-est (lignes L et J), celle de Bécon Les Bruyères à l’ouest (ligne L) et celle de Bois-Colombes (ligne J), toutes permettant de rejoindre Saint-Lazare en moins de 10 minutes, la ligne L conduisant également vers La Défense via des trains directs. Revers de la médaille : le quartier est traversé du nord au sud par les voies ferrées. Si les trains nouvelle génération sont beaucoup plus silencieux, vous devrez toutefois rester vigilants aux nuisances sonores près des avenues de Nansouty, Flachat ou Henri Barbusse qui longent les rails. Pour le reste, Bac-Bécon-Flachat reste un quartier calme et verdoyant qui bénéficie de la proximité du centre-ville et ses nombreux commerces et compte plusieurs établissements scolaires de qualité, tels que le collège François Truffaut ou le lycée privé Sainte-Geneviève, fier de ses 100% de réussite au Bac. Il abrite également la Halle Flachat, marché couvert de producteurs qui s’est enrichi en 2019 d’un site d’agriculture urbaine fonctionnant selon le principe de l’aquaponie et dont une partie des truites, saumons et légumes produits sont directement vendus sur place. Autre projet d’envergure : la réhabilitation de la gare Lisch, magnifique édifice de brique, de verre et de métal bâti pour les expositions universelles de 1878 et 1889. Aujourd’hui en ruine, il accueillera prochainement un espace de coworking, une zone dédiée à l’organisation d’événements et un café-restaurant. Malheureusement, ces atouts aiguisent l’appétit des acquéreurs. Les Prix/m2sont élevés et certaines maisons s’échangent déjà à plus de 2 millions d’euros !
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