Vous souhaitez acheter une maison ou un appartement à Romainville ? Située à seulement 3 km au nord-est de Paris, cette commune de Seine-Saint-Denis forme une étroite bande rectangulaire entre Bobigny au nord et Montreuil au sud. Peuplée d’environ 28.000 habitants, Romainville est divisée en 3 univers bien distincts.Au centre, le charmant cœur de ville s’étend sur la colline de Belleville. Il accueille la majeure partie des Romainvillois et domine le bien nommé Bas Pays, dont les anciennes friches industrielles font peau neuve depuis quelques années.Aux extrémités ouest et sud, notamment de l’autre côté de l’A3, se dressent les tours de logements sociaux des quartiers populaires aménagés en périphérie de la ville dans les années 60 et 70 et qui font l’objet d’importants programmes de réhabilitation. Car longtemps plus endormie et moins en vue que ses voisines Pantin ou Montreuil, Romainville est devenue l’une des étoiles montantes du nord-est du Grand Paris. Si elle ne compte encore aucune station de métro, de tramway ou de RER sur son sol, cette époque est bientôt révolue. En 2023, la ligne 11 va en effet faire son arrivée place Carnot et à Serge Gainsbourg (à la frontière avec Les Lilas), permettant aux Romainvillois de rejoindre Châtelet et le centre de Paris en moins de 20 minutes.La commune fêtera également l’arrivée du tramway T1 qui relie les banlieues nord de Paris entre Asnières-sur-Seine et Noisy-le-Sec et sera prolongé en 2025 jusqu’à Val de Fontenay, gare de RER A et futur terminus de la ligne 1 du métro, marquant 3 arrêts à Romainville. Forte de sa future position stratégique, la ville développe d’ambitieux programmes de réhabilitation un peu partout qui voient sortir de terre de nouveaux logements, des équipements publics et des commerces. De quoi redynamiser une ville qui n’a pas fini de montrer son potentiel et qui pourrait attirer un nombre croissant d’acquéreurs… et d’investisseurs !
Située à l’ouest du centre-ville, cette zone limitrophe des Lilas compte deux importantes cités : Youri Gagarine et Cachin. Construite entre les années 1960 et 1970, la première concentre tous les stéréotypes négatifs de la cité de banlieue avec son urbanisme vieillissant et dégradé et ses problèmes de sécurité et de trafics. Elle fait cependant l’objet d’un important programme de rénovation urbaine étalé sur plus de 10 ans et qui devrait s’achever à l'horizon 2027. Il prévoit la réhabilitation de 300 habitations et la construction de plus de 900 logements, de commerces, d’une salle omnisports et d’un espace de coworking. De quoi améliorer le cadre de vie de ses habitants, même si le chemin pour devenir une nouvelle « place to be » des acquéreurs reste long. Plus sage, la cité Cachin occupe l’extrémité sud du quartier. Construite entre les années 1950 et 1960, elle vient d’achever sa rénovation qui a notamment permis de renforcer son activité commerciale, de développer et mettre en valeur ses espaces publics et de requalifier la place du 19 Mars 1962 offrant une meilleure connexion avec le centre-ville. Mais ce n’est pas tout ! Le secteur de Marcel Cachin accueille depuis fin 2020 l’un des projets les plus innovants du Grand Paris : la Cité maraîchère, véritable ferme urbaine verticale de 1.000 m² répartie sur deux tours. À terme, elle devrait être en mesure de produire 12 tonnes de fruits et de légumes et 4 tonnes de champignons par an. Pour gérer son activité, la mairie a mis en place une régie municipale, offrant ainsi le premier service public de ce type en France. Si ce projet contribuera à redynamiser la zone, il y a peu de chance qu’il suffise cependant à y attirer de nouveaux acquéreurs. Les choses sont toutefois un peu différentes dans la zone comprise entre ces deux cités. Le quartier est en effet traversé en son centre par l’avenue de Verdun reliant le centre-ville de Romainville et Les Lilas. Autour de cet axe se déploie un secteur beaucoup plus attractif, composé de maisons individuelles et d’immeubles bâtis à différentes époques. Si les commerces sont là encore peu nombreux, le cadre de vie résidentiel y est plutôt agréable. De plus, cette avenue se situe à quelques pas de la future station de métro Serge Gainsbourg sur la ligne 11 du métro (côté Les Lilas) qui mettra l’ouest de Romainville à une quinzaine de minutes des Halles. Vers le début du renouveau de ce quartier offrant les prix les plus bas de la ville ?
Rendez-vous du côté du quartier Lemoine-Ormes-Charles de Gaulle, à la frontière entre Romainville et Montreuil. C’est ici que passe l'autoroute A3 depuis les années 1960, coupant l’extrémité sud du quartier du reste de la ville. Pour le plus grand bonheur de ses habitants, cet axe embarrassant a été recouvert en 2018 sur le tronçon séparant l’avenue Pierre Kerautret de la rue Jean Jaurès, afin de gommer la fracture urbaine qu’il représente et limiter les nuisances sonores. Un espace vert, le parc Simone Veil, a même été construit sur cette couverture, créant une liaison entre le nord et le sud de la zone et permettant la création de nouveaux quartiers comme la ZAC Jean Lemoine et ses 188 logements neufs édifiés en 2018. De l’autre côté du parc, le micro-quartier Charles-de-Gaulle fait l’objet d’une profonde réhabilitation et devrait avoir littéralement changé de visage d’ici 2022. Des placettes et des voies piétonnes sont en cours d’aménagement, tandis que des logements neufs, des commerces et un équipement public de 600 m2 conçu pour accueillir des activités associatives et culturelles, sortent peu à peu de terre. Au sud-ouest, le secteur des Ormes profitera quant à lui de l’emprise libérée par la destruction de l’A186 en 2019 et sa reconversion partielle en avenue paysagère générant au passage 2,7 nouveaux hectares de foncier à aménager. Autre motif de réjouissance pour les riverains de Lemoine-Ormes-Charles de Gaulle : l’arrivée de la ligne 11 à la station Montreuil Hôpital et la prolongation de la ligne de tramway T1 en 2025 qui marquera l’arrêt au niveau du Collège Gustave-Courbet et de la rue Libre Pensée, juste derrière le nouveau pont franchissant l’A3. La zone présente donc tous les ingrédients pour séduire les acquéreurs et les investisseurs. Côté prix, la grande diversité du bâti se reflète dans les écarts importants : de 4.500
Situé entre le centre-ville et les secteurs du sud de la commune en pleine métamorphose, Grands Champs fait figure de zone endormie. Ce quartier très résidentiel et peu commerçant est occupé sur tout son flanc est par le Fort de Noisy, bâti au 19e siècle et qui abrite aujourd’hui le siège du service Action de la DGSE. Pour le reste, Grands Champs se compose essentiellement de maisons individuelles, d’immeubles de quelques étages et d’une petite cité en face de l’école Henri Barbusse. Peu concerné par la politique de grands travaux menée par la municipalité, il devrait peu évoluer dans les prochaines années, à l’exception de la zone située autour de la rue des Mares. C’est précisément sur l’ancien site de Panotel que 315 logements répartis dans 7 bâtiments aux architectures et hauteurs variées, ainsi qu’un parking sur deux niveaux verront le jour. Dans ce programme bâti sur une zone humide, une grande attention sera portée à la gestion de l’eau. Un système de « vallée » serpentera entre les différents bâtiments, tandis que les toitures, terrasses et pieds d’immeubles seront conçus pour récupérer les eaux pluviales et les mettre en valeur. Une promenade publique végétalisée sera également créée entre la rue de Benfleet et le square des Mares. À deux pas d’ici, la cité des Mares subira un profond lifting. La ville réhabilitera une partie des appartements et en démolira d’autres pour faire place à 130 logements neufs plus modernes, confortables et respectueux de l’environnement, assortis d’espaces verts et de rez-de-jardins. Enfin, l’arrivée du tramway T1 au niveau de l’école Jean Charcot et du collège Gustave Courbet rapprochera les habitants de la place Carnot, et par extension, de la ligne 11 et du centre de Paris.
Le vieux Romainville forme un triangle compact délimité par la D117 et l’avenue de Verdun qui convergent vers la Place Carnot. La rue Saint-Germain qui se prolonge en rue de Paris constitue l’artère centrale de ce quartier et l’axe autour duquel s’est développée la ville. Parcouru de petites rues parfois sinueuses bordées de trottoirs étroits et faisant la part belle aux mobilités douces, le centre-ville compte de nombreuses maisons en briques ou en pierres meulières et conserve quelques charmants vestiges de son passé rural, tels que d'anciennes fermes aux entrées charretières ou cochères plutôt pittoresques, datant parfois du 18e siècle. Vous en trouverez notamment dans les rues Joseph Bara ou Gabriel Husson et près du collège Pierre-André Houël. Le quartier abrite aussi de petits immeubles anciens de 2 à 4 étages et quelques édifices plus récents et plus hauts sur sa périphérie, le long de la D117 et de l’avenue de Verdun. Côté culture, difficile de ne pas mentionner le petit conservatoire de musique Nina Simone et surtout le Trianon, cinéma iconique construit dans les années 50 dans un style d’inspiration Art Nouveau. Il est le témoin d’une époque où le très vivant centre de Romainville attirait des flots de Parisiens venus en tramway pour profiter de ses boutiques et guinguettes. Ce temps est malheureusement bien révolu et le manque de commerces de proximité, de bistrots et de restaurants constitue le talon d’Achille du quartier et plus généralement de la ville. Pour faire quelques achats, vous devrez vous tourner vers les quelques grandes enseignes de l’avenue Paul Vaillant-Couturier et de la rue Carnot ou vers le marché qui se tient trois fois par semaine au croisement des avenues de Verdun et du Président Wilson. Plusieurs projets devraient toutefois donner un nouveau souffle au centre-ville ! Entre la Mairie et l’école Paul Vaillant-Couturier, l’ancien Palais des Fêtes a par exemple entamé sa réhabilitation pour devenir Le Pavillon, futur lieu de création et de diffusion artistique. La place Carnot sera quant à elle bientôt rendue aux piétons et accueillera en 2023 une nouvelle station de la ligne 11 du métro qui mettra le cœur de Romainville à moins de 20 minutes du centre de Paris. Elle sera rejointe en 2025 par le tramway T1 qui reliera Asnières-sur-Seine à Val de Fontenay (RER A et futur terminus de la ligne 1). De quoi attirer une foule de nouveaux habitants ! Il est toutefois déjà difficile d’y acquérir un bien en bon état à moins de 6.000
Très compact, le quartier de Carnot-République correspond au prolongement sud du Triangle d’Or. Principale différence avec son voisin : il est moins charmant et beaucoup plus hétéroclite, tant sur le plan urbanistique qu’architectural. Il constitue en effet un patchwork d’immeubles de différentes époques, construits entre la première moitié du 20e et du 21e siècles, notamment le long des deux grands axes que sont les avenues de Verdun et de la République. Dans les rues perpendiculaires, on les édifices de seulement quelques étages sont plus nombreux, de même que les maisons individuelles anciennes, comme plus récentes. Plus résidentiel que le vieux Romainville, Carnot-République est très dépendant du centre-ville dans lequel ses habitants se rendent quotidiennement pour faire leurs courses dans les quelques commerces de proximité qui s’y trouvent. Aujourd’hui endormi, le quartier devrait toutefois lui aussi bénéficier de l’arrivée du tramway T1 et de la ligne 11 à la place Carnot en 2023 qui le connectera à Châtelet en moins de 20 minutes. Un nouveau point fort qui risque de faire monter les prix, aujourd’hui un peu plus avantageux qu’au centre-ville, surtout dans les rues qui en sont les plus éloignées.
Plus vaste quartier, Bas Pays occupe toute la partie nord de la ville, entre le centre et le canal de l’Ourcq. Situé dans la “vallée” en contrebas de la colline de Belleville, il est séparé du reste de la commune par le parc de Romainville. L’histoire de Bas Pays est intimement liée à celle de l’industrialisation de cette partie de la Seine-Saint-Denis. C’est en effet ici au début du 20e siècle que s’installa la Compagnie générale des omnibus, bientôt rejointe par la société pharmaceutique Roussel-UCLAF Biocitech. Fruit de cet héritage, le quartier accueille aujourd’hui un pôle d’une trentaine d’entreprises innovantes spécialisées dans le domaine des biotechnologies, des industries de la santé et de l’environnement. Si Bas Pays compte aussi de nombreuses friches, celles-ci sont peu à peu réhabilitées, à l’image des écuries construites par l’industriel Gaston Roussel en 1926 et intégralement rénovées pour devenir Paddock Paris en 2019, premier outlet accessible en métro. La même année, c’est la Fondation Fiminco-Komunuma qui ouvrait ses portes à quelques mètres de là dans un ancien site industriel classé. Ce vaste pôle culturel consacré à l’art contemporain offre une riche programmation d’événements et d’expositions et accueille déjà 4 galeries, les réserves du Fonds régional d’art contemporain (Frac), l’association Jeune Création, la compagnie de danse de la chorégraphe Blanca Li et plusieurs ateliers destinés à des artistes en résidence. Lorsque les dizaines de milliers de mètres carrés encore abandonnés auront été aménagés, Romainville pourra se targuer d’accueillir l’un des plus grands espaces culturels d’Europe dédié à l’art contemporain, au spectacle vivant et à la vidéo. Mais outre ces nouveaux équipements, Bas Pays compte également attirer de nouveaux habitants ! Une école primaire et un premier lot de 117 logements conçus par l'agence Reichen & Robert est sorti de terre en 2019 avenue du Docteur Vaillant, et plusieurs autres programmes d’immeubles résidentiels sont attendus pour 2021 et 2022 rue de la Commune de Paris, ainsi qu’entre l’avenue Gaston Roussel et la rue Jean-Jacques Rousseau. Le plus emblématique d’entre eux est sans doute le futur quartier de l’Horloge qui rassemblera plus de 1 000 logements, 200 000 m² de locaux dédiés aux entreprises, 30 000 m² de commerces et un lycée répartis sur 51 hectares. Côté loisirs, la rénovation du complexe sportif Paul Baldit, la livraison d’un nouveau gymnase et surtout, l’ouverture de “l'île de loisirs de la Corniche des Forts” représentent les autres grands projets en cours. Cette dernière réunira les parcs de Romainville et d’Henri Barbusse à Pantin pour former un espace en plein air de 64 hectares regroupant un parcours sportif, un mur d'escalade, un poney-club, des aires de jeux pour enfants, des zones de détente et de promenade ou encore des écopâturages. Pour ne rien gâcher, plusieurs infrastructures de transports sont à l’étude, comme la construction du T Zen 3 qui devrait longer le canal de l’Ourcq ou celle d’un métro-câble reliant Bobigny aux Lilas en passant par Romainville. S’ils se concrétisaient, ils contribueraient grandement à désenclaver ce quartier aujourd’hui uniquement relié à son extrémité nord-ouest par la station de métro Bobigny-Pantin-Raymond Queneau (ligne 5). Vous l’aurez compris, Bas Pays est l’une des zones les plus prometteuses de l’est du Grand Paris. Mais s’il est encore possible d’y trouver des biens à rénover aux alentours de 5.000
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